Vraincre l'ennuis [pv Vini' =p]

Le problème lorsque l’on débarque dans une nouvelle ville sans argent et seul, c’est que l’on ne sais pas véritablement ou se diriger en premier, alors on trainasse en cherchant que faire et ou dormir pour commencer. C’était ce que faisait Shuro en cette heure de pointe dans cette gare. Il venait d’arriver et on l’avait jeter du train qu’il n’avait pas payer. Puisqu’il n’avait rien sur lui, il n’avait forcément rien a donner aux deux hommes en costumes qui faisaient de leur métier de se balader dans les couloirs d’un véhicule bondé a la recherche de distraction pour faire bouger leur morne quotidien de sorte qu’ils étaient tomber sur Shuro comme deux chiens affamés. Le jeune homme voyant le danger avait préférer répondre dans sa langue natale pour finir par s’enfuire lorsque les portes s’étaient ouvertes, bousculant au passage nombre de passagers enfin arriver a destination après avoir passer quelques temps serrer contre d’autres. Le garçon avait donc filler sur les quais avec l’habitude de celui qui vit depuis toujours proche des foules. Pourtant, cela avait du développer en lui l’esprit inverse. Solitaire et complexe, il préfère les pensées au reste, ce qui l’éloigne souvent des autres.

Cela c'était passer il y avait quelques semaines, a present, il était revenu dans cette gare. le probleme était que son physique ne s'oubliait pas et que les agents de sécurité ne l'avaient pas oublier non plus. Après les avoir gentillement provoquer, un sourire radieux aux lèvres, le garçon traversa le quai, les deux armoires a glace a ses trousses. Devant lui: un couloir partant sur la droite et un escalier bifurquant a gauche. Compliqué jusqu’au bout, l’instant d’après le jeune homme était entre les deux rails principaux lorsque deux train les traversaient. Une clope coincée entre ses lèvres, quelques mèches de cheveux lui fouettant le visage, l’asiatique disparu sur les quais opposés lorsque le train l’en empêchant fut passer. Les agents de sécurité n’eurent pas le temps de le rattraper qu’il avait disparu de l’autre côté de la gare, le sourire aux lèvres. Ce qui l’avait pousser a un geste si absurde? La connerie peut être, ou un désespoir bien enfuit. Ou juste l’envi de démarquer cette journée, faire monter l’adrénaline. Et puis, s’il avait rater son coup, au pire, il serait mort. Il n’était qu’une merde dans ce monde, un salle gosse qui avait grandis trop vite mais dont les gestes traduisaient encore l’inconscience de la jeunesse. Les apparences sont trompeuses et chez lui cette phrase est d’une véracité étonnante. Il n’est jamais ce qu’il semble être. Peut être n’est-il tout simplement rien tout en se donnant de la constance. Oui, un garçon bien trop compliquer pour l’expliquer en quelques lignes car les seules réponses obtenues resterons d’autres questions. Un résulta bien peu satisfaisant pour un esprit cartésien.

Shuro se laissa tomber sur un siège, regardant passer quelques voyageurs maussades, attendant leur train d’un air absent. Quelques familles s’affairaient, la mère surveillant les enfants, le père allant vérifier, après encouragement de son épouse, qu’ils étaient bien sur le bon quai. Quelques amoureux, profitant des derniers instant de proximité, quelques jeunes, absorbés par leur musique et lui. Lui qui n’avait pas le train a prendre, personne a attendre ou a retrouver. Lui qui passait juste le temps avant de trouver une activité plus lucrative. Il fini par se lever, les mains dans les poches, ce n’était pas ici qu’il trouverait quelque activité. Personne ne semblait de grand intérêt, rien ne semblait vouloir lui faire passer cet ennuie qui ne le quittait pas. Il allait donc aller se ballader, surement en essayant de se réveiller pour tanter d'assurer son avenir. Vivre au jour le jour n'était pas bien malin dans le monde actuel, mais il vivait toujours au présent, oubliant peut être de trop le reste. Le futur et le passé n'étaient pas des valeurs sures a ces yeux. Tout change beaucoup trop vite. Une envie ancienne par exemple s'estompe rapidement. Il attendait d’être ici depuis un moment déjà, mais la flamme de l’enfant enchanté par son rêve s’était éteinte il y avait bien longtemps. C’était juste une grande ville comme les autres. Rien de bien différent. Il l'avait vite compris lorsqu'il était arriver. Maintenant, rien n'avait changer, toujours pas de travail, de toit, ou d'argent. Pas de relations, de connessances, rien. Comme toujours, il avait été trop solitairre. Quelques éclats de voix derrière lui le firent revenir a la réalité, les agents, et bien, ils étaient bien collant --’. Il repris sa course dans la gare jusqu’à ce que les colosses ne le lâche. Il s’arrêta alors, le souffle court.

( Je prends ce sujet-ci ! J'vais posté, un peu plus tard, j'viens de me vider pour un autre sujet ^^ )

[oukiii poste quand t'aura le temps ^^ l'inspi ça peut être capricieuse T.T; dsl pour le double post :p]

Invité

[ 1 mois les jeunes! Vous le continuez? ]
[ Si oui, Vous avez une semaine ]
[ Sinon, le topic par aux oubliettes! ]

[moi oui, faut voir avec Vin' =p]