Une promenade au coeur de la nuiit (Liibre)

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La nuit venait de tomber. Le Soleil se couchait doucement, pour faire place à la Lune. La journée avait été plutôt chaude, et aucun nuages n'apparetenaient au ciel. La températrure descendait peu à peu. Le temps se raffraichissait plus les minutes passaient.

Il était 20 Heure. Une heure plutôt tardive pour une jeune demoiselle de 25 ans. Biensûr tous les taxi était pris, et le dernier recours était le métro. Alexandra, prête à tout pour rentrer chez elle, marcha donc jusqu'au centre de la place souterraine.

Il faisait frisquette dans le sous sol, Alex decida donc de fermer sa petite veste en jean. Elle parcouru quelque mettre pour s'assoir sur un siège, pendant l'attente du métro. ET là, elle reconnu une personne. Elle l'avait déjà rencontré quelque semaine plus tôt. Elle salua gentillement de la voixcet être humain comme une véritable être humaine qu'elle était, et ne prit pas la peine de le déranger lors de sa lecture. Elle se tu donc.

[çva là? *.*]

Le problème avec les coins craignos, c’était que l’on pouvait un peu trop risquer en étant juste là ou il ne fallait pas quand il ne le fallait pas. Hors Shuro était très doué pour s’y trouver a ce moment là. Et cet endroit était tout simplement l’immeuble qu’il squattait pour éviter de dormir sous la flotte le soir. Quoi que, pour une fois, la nuit était belle bien que fraîche. Mais ça n’était pas le propos. Le fait était que le jeune nippon avait été réveillé en pleine nuit par des cris de plus en plus forts et stridents. Résultat? Ben, curiosité légendaire mais peu être un peu trop dangereuse certains jours. Il était sortit sur le palier de ce qui aurait pu lui servir d’appartement si ça n’avait pas été en si mauvais état et dénué d’affaires personnelles. Le jeune homme s’était alors retrouver sans trop savoir comment dans une bataille impliquant un bon nombre de personnes, dont aucune n’était son allier. Il y en avait bien sure trop pour qu’il s’en sorte sans dommages, surtout alors qu’il avait encore la tête dans le cul a vrai dire. Oui, a cette heure là, il fallait dire qu’il ne dormait plus et avait alors voler des somnifères dans une pharmacie pour pouvoir dormir tôt. Résultat, il était loin d’être au mieux de ses capacités et c’était donc fait joliment rétamé.

Pourtant, il avait quand même réussit à s’extirper de ce mauvais pas en renonçant a jouer les héros pour une jeune femme prise la dedans également. Elle en était peu être la cause en vérité. Bref, il n’était pas en mesure de résister a tant de personnes dans l’état ou il était. Il s’était donc réfugier dans des rues mieux fréquentés… où il avait croiser un groupe de policier discutant de bon cœur. Plus par habitude que par réelle nécessité, il avait alors presser le pas pour se retrouver enfin dans le métro. Cet endroit l’avait quelques fois déjà sortit de quelques affaires, il y trouva donc un coin plus calme ou il avança sans destination spéciale. Fatigué par le produit ingéré, il fini par aller s’asseoir près d’une jeune femme et de son voisin de… banc. A vrai dire, il s’était plus affalé qu’autre chose, sans se soucier vraiment du filet de sang qui coulait du coin de ses lèvres ou même du coup de lame qui aurait scinder sa main en deux s’il n’avait pas eu de bon réflexe. Les quelques traces de sang sur ses vêtements pouvaient également faire tache, mais là, il était comme drogué, et pas qu’un peu. La vérité, c’était qu’il avait uniquement envie de dormir. Le reste il s’en foutait bien. D’un murmure, il salua les deux personnes sur le banc et ferma les yeux quelques secondes. Sentant la tête lui tourner, il se massa les tempes, découvrant que du sang couvrait ses doigts qu’il regarda surpris. Ce devait être les coups qu’il avait donner et qui avaient finis par couvrir son poing. Il soupira alors et baissa les yeux pour fixer le sol, la fatigue de plus en plus pesante. Si peu de sommeil en tant de temps, cela rajouter au somnifère, il avait bien du mal a se tenir debout. Se secouant, il se redressa et chercha du regard quelque chose sur quoi s’essuyer. Il devait vraiment faire tache ici. Un de ces gamins de la rue, une de ces merdes a éliminer de part leurs classe sociale.

« Vous auriez un mouchoir s’il-vous-plais? »

C’était la première fois qu’il parlait distinctement.

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Alexandra était la sur sa chaise, pensive. La fraicheur de la nuit venait jusqu'en dessous de ses vêtements. Ses jambes tremblaient doucement sous le tissu légé noir qu'elle portait. Ses cheveux cachaient de plus en plus son visage. Elle leva le bras, pour remettre sa meche correctement et prit le temps de regarder le jeune homme deux secondes, avant qu"il ne puisse se rendre compte de quoi que se soit.

Elle avait du mal à comprendre ce qui s'était passé cette nuit la, ou elle avait découvert ce milieu sombre de la vie. Elle en restait encore bouche-bée. Le regard sec, elle essayait de fixer un autre milieu que celui de l'inconnu. Inconnu? Oui car elle ne se souvenait plus de son nom. Elle essaya avec peine d'échanger un sourire avec lui. Mais lui, n'eut pas le même réflexe qu'elle, il avait l'air distrait et soucieux. Qu'avait il encore fait pour avoir un corp aussi abimé. Du sang coulait le long de son bras. Elle décida donc de prendre un peu sur elle, et d'essayer d'oublier ce qui s'était passé. Peut-être qu'enfaite il avait seulement besoin d'aide...

'Monsieur, s'il vous plait... Puis je vous adressez quelques mots à l'écart?"

Elle lui tendit un mouchoir apreès avoir cherché dans son sac à main, et se leva, l'attendant patiement, en espérant qu'il accepte et qu'il ne prenne pas les jambes à son cou. Le sourire forcé, par la situation, elle ne pouvait pas le laiser trainer comme sa, dans le sous sol du métro. Elle essaierai donc de lui trouver un endroit ou loger... Mais allait-il accepter...

Il était vrai que la nuit était fraîche. Mais ça, il s’en foutait. Le froid, il le connaissait depuis bien trop longtemps. D’ailleurs, si un frisson lui échappa, ça n’était pas la température extérieur qui le tourmentait. Mais la sienne. C’était de l’intérieur qu’il était gelé. Ayant perdu du sang, ne mangeant presque plus et vivant dans des conditions dures pour un chien, il était sure qu’il finissait dans un sale état. Et cela sans compter la drogue et son état psychologique. De plus, il faisait tout lui même pour se foutre n l’air, alors, pas étonnant qu’il commence a céder. Car son corps était en train de lâcher. Totalement. Son teint était devenue grisé. Pâle comme un mort, il s’était plus affalé qu’autre chose sur le banc, a côté d’une jeune femme qu’il aurait immédiatement reconnus s’il y avait fait attention. Faute d’avoir une belle vie, il avait une bonne mémoire, après tout, n’est-ce pas ce qui fait qu’un enfant peu devenir et faire ce qu’i veux. Mais pour ça, il aurait fallut qu’on ne l’enferme pas comme une bête. Il devait pourtant avoir plus de connaissances que la jeune femme vu tout ce qu’il avait retenus. Mais on ne peux devenir quelqu’un quand on est mort de l’intérieur. Certes, il y aurait des tas de grands artistes a citer question renommée mortuaire. Mais entre eux et lui, il y avait un monde. Il était plus bas qu’un insecte pour la plupart des gens, voilà tout. Perdu dans ses pensées, il n’avait même pas fait attention a ceux qui étaient a ses côtés. Le corps en sale état, il sentait sa tête lui tourner mais ne réagissait pas, fixant les rails de temps en temps. S’aurait été si simple. Mais quelques mots avaient suffis a le faire vivre durant toutes ces années, l’empêchant de faire l’ultime connerie. Puis ce fut le sol froid qu’il regarda, le regard perdu vers un point invisible de tous. Pourquoi tout était si compliquer merde? Pourquoi avait il merder? Autant merder depuis toujours… pas même foutus de se tenir en bon état.

Le jeune homme soupira puis se retourna vers la jeune femme qui se tenait a côté de lui. Avant de lui donner un mouchoir, elle lui demanda de parler en priver. Ce ne fut qu’a ce moment qu’il vit distinctement son visage. C’était la jeune femme d’il y avait quelques jours. Celle qui l’avait vu… merde il aurait préférer ne pas la revoir. Encore moins en étant si misérable. Elle devait avoir le don de tomber toujours quand il était dans des états plus pitoyables les uns que les autres. Quoi que c’était peut être tout simplement car il était devenu « ça » a longueur de temps. Les mères protégeaient leurs gamins de lui sans vraiment le connaître. Elles avaient raison. Il aurait bien du se foutre sous le métro, ça aurait arrange tout le monde. Surtout qu’il était diriger par des machines et que lui, ne possédait rien. Donc pas d’emmerdes question assurance. Mais psychologique oui. Surtout vu le nombre de personnes qui pouvaient voir sa dépouille. Non, dans un coin. Sur un sol dur, comme lui. Crever sans témoins car il s’était toujours éloigner. Ça lui ressemblait mieux. Mais a quoi il pensait lui??? Durant quelques secondes, le nippon avait regarder la jeune femme comme s’il n’avait pas compris ce qu’elle venait de dire. Puis il avait articuler u remerciement la regardant s’éloigner, conscient qu’elle n’attendait juste qu’il la rejoigne. Avec un faible sourire qui semblait aussi étrange qu’injustifié, il se leva, sentant ses forces s’épuiser. Il ne savait même pas s’il tiendrait jusque là. Quelle merde. Il était foutus voilà tout. Pourquoi s’obstiner? « ~ Rah, pas vrai ça, aller mon vieux, du nerfs. Ta période déprimer dla vie commence a sérieusement faire pitié. Aller… aller….~ » incroyable ce qu’il n’arrivait pas a ce motiver. Enfin, ça n’était pas l’important. Le jeune homme rejoint Alex un peut plus loin. Mais c’était trop pour son organisme. Peu être avait elle parler, il n’en savait rien. S’aurait été dans la logique des choses. Mais sa vision était devenue floue et, bientôt, il ne la voyait plus que comme une ombre dans un halot lumineux et aveuglant.

Le jeune homme s’effondra, sa tête cognant lourdement sur le sol dur et glacial.

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Alexandra le coeur serré par la situation, attendait les mains hesitantes le long de son corp. sac à l'avant bras, elle n'eut le temps de se retourner, que l'homme auquel elle avait demandé de parler, s'était monstrueusement écroulé au sol. Le regard horrifié, Alex courru à sa présence. Le coeur battant de plus belles, elle commença par prendre son pou. Plutôt lent, celle ci comprenait tout à fait pourquoi le jeune homme avait eut du mal à se lever et à marcher jusqu'à elle. La jeune femme retira sa veste en jean, et malgré la petite taille du vêtement, lui mit sur lui. Heureusement pour elle, Alexandra avait eu son brevet de secourisme, elle décida donc de mettre le jeune homme sur le côté.

Une fois l'homme à l'abris, la jeune étudiante pris son téléphone portable. Aucun réseau. Effectivement, dans les sous sol du métro, il était fort possible qu'elle n'eut pas la moindre fréquence. Elle courru, le coeur battant toujours de plus en plus fort, vers une cabine téléphonique. Battante, elle avait toujours su quoi dire dans ces moments délicats.

Une larme coula de son oeil. Oui, Alexandra était très sensible, mais forte. Forte, au point de donner tout ce qu'elle avait pour les autres. Les temps l'avaient changé... La jeune femme inséra une pièce dans le trou fait à cette effet, et appela le 911! Policier. Elle demanda gentillement les pompiers. Eux même étaient dans les parages, ils ne tarderaient pas. Et elle l'espèrait fortement. Elle retourna auprès du jeune homme, et attendit...

Ce qu’il se passait exactement , il n’en avait aucune idée. Tout ce qu’il savait, c’était que cette femme lavait vu dans une position qu’il aurait bien aimer garder inconnue de tous. Lui et ses merdes, ça ne regardait personne d’autre. D’ailleurs, pas grand mon de en avait a foutre. Alors, pourquoi elle se mêlait bade ses affaires merdes? C’était gentil et humain quelque part. mais, primo, il n’y était pas habituer, et deuzio, il ne savait pas comment réagir. Et puis, ce genre de blessures, il n’avait( aucun e envie de les montrer au grand jour. Oui, il se droguait, buvait et se mutilait?. Et merde quoi, ça le regardait. Elle ne pouvait pas comprendre ce qui se passait dans sa tête. Elle ne pouvait pas comprendre tant que ça serait trop tard. Et il n’avait aucun e en vie de la tuer. Alors, il faisait ces merdes là. Sauf qu’il ne résisterait pas bien longtemps a un rythme pareille. Son corps ne pourrait jamais supporter un e telle pression. Mais ça, il s’en foutait totalement et il se foutait en l’air jours après jours. La preuve, il venait de s’écrouler comme un abruti. Son corps ne supportant plus ni le sang, ni son poids. Alors, le jeune homme bascula dans les ténèbres. Loin de lui, il distingua vaguement Alexandra s’approcher de lui. Puis la réalité s’effaça et il sombra totalement, sentant ses démon s l’entourer pour le traquer. Pour lui montrer qui il était. Horrible vision , lui, ses victimes, du sang, des hurlements. Sa mort. Leurs sourires.

Comme a travers une brume épaisse, il distingua des voix lointaines. Une femme parlait. ~« il c’est écrouler comme ça. Si je vous jure. Un gars des rues sûrement, vaux mieux rester loin. Une femme est partie appeler les secours. Tient, elle revient. Moi je m’éloigne d’elle aussi. Elle le connais peu être. »~ Comme s’il portait la gale et qu’il l’avait refiler a la seule personne lui portant secours. Mais, justement, il n’en voulait pas de son secours. Et, encore moins des pompiers. Il irait directement à l’hosto, puis en taule vu les doses qu’il devait avoir dans le sang. Et puis, peut être y avait-il son profil quelque part dans les commissariats. Ce qui serait vraiment très mauvais pour lui. Sa main se referma sur le poignet frêle d’un e femme. Sûrement celle qui l’avait appeler quelques temps avant. Il le serra, revenant un peut plus a la réalité. Entendant au loin, les sirènes des pompiers, il ouvrit brutalement les yeux et se leva directement. Ses jambes tremblaient, merde ce qu’il était faible. Affligeant -_________-’. la vision trouble, il s’éloigna sans lâcher la jeune-femme, l’emmenant au loin. Elle avait du le mettre sur le côté, un bon geste. La vision trouble, il l’en traîna jusqu’a un recoin sombre, loin de l’agitation. On ne le repèrerait pas tout de suite, mais la femme qui avait parler de lui avec tant de … dégoût devait bien l’avoir repérer et dirait qu’il avait emmener Alexandra de manière brute et dans un but évidant. Qu’elle se rassure, il était bien trop faible a cet instant pour faire quoi que ce soit. Tremblant de tous ses membres, il la coinça pourtant contre un mur.

« Merde mais ça va pas d’appeler des secours? C’est gentil d’avoir voulu m’aider mais l’hosto, j’préfère éviter. »

Une onde de douleur se propageant dans son crane, il du baisser les yeux en serrant des mâchoires. Nouveau signe de son corps pour le prévenir qu’il finirait par s’écrouler, et que ce serait bientôt. Ça tombait bien, il n’en pouvait plus de se battre a chaque instants contre lui même. Il releva le regard quand son crane le tortura moins et adressa a Alexandra un maigre sourire de remerciement.

« Désolé de vous avoir inquiéter, j’vais manger un morceau, et ça ira très bien ^.^ »

C’était faux, bien sur, c’était plus grave que cela. Mais ça, le jour ou il l’avouerait….

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