Fantasy Box, session d'embauche ... (PV June)

En ce jour de dévastation, le soleil ne parvenait pas à percer les plafonds bas d’un ciel grisâtre qui semblait dominer uniformément San Francisco. Pour la plupart des habitants de la ville, ça n’était pas une belle journée qui s’annonçait et pour Jim qui s’accrochait à son téléphone cellulaire comme à une bouée de sauvetage, ça demeurerait quoiqu’il arrive et malgré toutes les belles promesses de son avocate l’une des journées les plus pourries qu’il ait eu à endurer.
Il avait pris comme bureau le capot calciné d’un des deux véhicules qui avaient cramé la veille devant les bureaux de sa boite.
Le périmètre où il se trouvait avait été ceint par des rubans jaunes qui donnaient l’impression qu’on entrait sur une scène de crime et qu’une équipe du NCIS n’allait pas tarder à débarquer pour mener l’enquête.
Il n’avait pas encore été autorisé à pénétrer dans les deux hangars qui devaient lui servir de zone de travail, et que parcourait pour l’instant un petit groupe constitué d’experts aux assurances, de responsable local des pompiers, d’un inspecteur de police, et d’un ou deux préposés de l’administration civile à la sécurité et à l’hygiène des entreprises.
Bref, tout ça s’annonçait mal ...

Il fit un pas de côté en grimaçant, il n’avait aucune envie de marcher dans le mélange noirâtre de flotte, de suie et de mousse carbonique qui suintait des lieux de l’incident et dégoulinait doucement en direction du bassin de pêche ou venaient s’ancrer bien avant la dépression de 1929 une partie de la flotte de pêche de la ville.

« Ecoutes, Athéna, je panique vraiment, y’a un de ces cons qui parle de me foutre un procès parce que les produits qu’ils ont utilisés pour éteindre l’incendie sont en train de se déverser dans le port … et le débile qui porte un casque rouge, non pas ton mari, un autre … me fait un foin de tous les diables parce qu’il ne retrouve pas trace des extincteurs que j’aurais du faire placer dans les locaux …. »

Se tournant sur le côté il aperçut du coin de l’œil une silhouette qui longeait le quai, et se dirigeait vers ce qui avait été il n’y avait pas si longtemps que ça les locaux de sa société.
Il fit une nouvelle grimace en songeant qu’il devait encore s’agir d’un de ces vautours de fonctionnaire qui venait lui causer des problèmes et que le ou la nouvelle venue allait se joindre à la cohorte qui depuis le matin même le soumettait à un feu roulant de questions sur les mesures de sécurité qu’il avait compté mettre en œuvre pour s’inscrire dans le cadre du strict reglement qui régentait les créations de sociétés.
Pris par ses soucis, il avait complètement oublié qu’il avait pris rendez vous avec une certaine June, et continua un peu moins stressé grâce aux promesses d’Athéna d’intervenir auprès de la municipalité :

« … C’est ça je compte sur toi, rappelles moi dès que t’en sauras plus. »

[ d'avance desolee pour les fautes de frappes mais em Espagne les claviers sont completement different alors c'est pas evident.. pour limiter les degats je ferai pas des postes très longs.

Et comme precisé dans mon post repertoriant mes topics je en pourrais pas repondre tous les jours ]

Toujours a la recherche d'un job car Ça devenait très urgent pou payer son loyer ( le proprietaire avait commencer des menaces au sujets de la police ) June etait tombé sur une annonce dans le journal de la ville.. apparement, c'etait pas mal payer et Ça consistait a bosser sur de l'evenementiel.. pourquoi pas tenter ? le nom de la boite lui avait paru marrant, Fantasy Box. Après avoir decoupper l'anonce elle avait imediatement appele au numero indiqué et la voix grave d'un homme trop plein de fierté et d'assurance lui avait donner rendez-vous sur les quais là oú se trouvait les bureaux de l'agence...

Le soleil commenÇait enfin a laisser ses rayons rechauffer le sol em cette heure matinale et June commenÇait elle a entrevoir le batîment... vieux, usé, brûlé nême par endroits.. plûtot étrange.. le milieu de l'evenementiel en g`´eral c'est moderne, neu, jeune et contemporain, Ça se fait remarquer par son originalité et Ça attire les regards.. ce bâtiment là les faisait fuir..

* Bon j'suis pas venu pour rien, et Ça coûte rien d'aller voir *

En tant normal June ne serait jamais venue seule .. mais les seules personnes au'elle avait rencontrées a San Fransisco n'etaient pas du tout le genre de personne qu'elle prendrait comme aie.. a la limite Cléo et encore.... trop... trop quoi.

* Aller on y va *

Après avoir respirer profondement June entra dans le bâtiment le coeur serré et les yeux grad ouverts.. c'etait encore pire a l'interieur.. une silouhette masculine plantée derriere un bout de metal oirci se dessinait au fond, et dùn pas craintif la brune s'approcha et toussota.

- Bonjour.. C'est vous Adams ?

[Pas de problème pour moi, au contraire ... j'espère juste que tu te plais en Espagne ... mais je suis content de voir que tu peux poster un peu aussi ...
Comment ça, Jim trop plein de fierté et d'assurance ? ...
... et au fait, on est dehors, pas dans les locaux, Jim a fait du capot d'une des voitures brulées son bureau provisoire ... ]



« Ouais, c’est moi, et vous lui voulez quoi à Adams ??? »

Lui répondit ‘il d’un ton qui se situait entre l’exaspération la plus profonde et une immense lassitude.
Il raccrocha son portable d’un geste sec et se tourna le regard pas vraiment bienveillant vers la nouvelle venue.

Il la classa tout de suite dans la catégorie actrice débutante, cette démarche craintive et la manière de l’aborder, ça sentait la nenette qu’avait besoin de pognon et qui n’était pas encore sure d’avoir les qualités nécessaires pour l’obtenir.
Il détailla la silhouette de la nouvelle venue d’un regard rapide, et conclut immédiatement qu’elle avait toutes les qualités nécessaires pour le travail en question. Il ne lui restait plus qu’à faire ses preuves devant la caméra, ce qui n’avait rien de bien difficile en fait …
Enfin ça dépendait des personnes bien sur.

Il n’avait pas trop le temps de discuter là, d’autant que le gros nez camus d’un camion à plateau se profilait à quelques deux cent mètres de là et négociait le virage entre les entrepôts du quai d’en face.
Des entrepôts qui eux n’avaient pas brûlé mais qui n’appartenaient pas à Jim.

C’était comme ça depuis le début de la matinée, tous ses fournisseurs se gouraient d’entrepôt et livraient en face. Sur un quai vide où il n’y avait personne pour réceptionner la marchandise qu’on lui envoyait.

« Bouges pas ton cul de là, j’reviens de suite ma poulette, ah ouais, au fait, bonne nouvelle t’es embauchée … »

Une fois de plus, Jim s’avança vers le rebord du quai, ôta sa chemise et se fit à faire des sauts tout en l’agitant et en gueulant à tue tête :

« Pas là bas, tête de con !!! C’est ici que tu dois livrer !!! Ici !!! T’as compris , Abruti ?! Ouais, ICI !!! »

Il ponctua sa bordée d’injures d’un geste sec qui indiquait clairement au chauffeur en face qu’on l’attendait ICI et pas là bas !

Ca faisait la quatrième fois que la scène se répétait depuis le début de la matinée pour la plus grande joie des débiles de l’administration qui se trouvaient à l’intérieur du bâtiment et ne manquaient pas une occasion de venir admirer la démonstration d’énergie de Jim depuis les fenêtres du premier étage.
Et la en plus, il y avait une jolie fille à observer, sûrement une actrice … alors forcément, ils devinrent vite le point d’attention d’un petit groupe qui se trouvait à l’étage.

Jim s’en foutait d’ailleurs, l’important c’était qu’il ait l’occasion de parler avec l’abruti au camion qui s'il ne se perdait pas dans le dédale des entrepots devrait s’amener dans les cinq ou six minutes à venir ...Ce qui permettrait à Jim de lui indiquer le nouveau lieu où il lui faudrait livrer sa camelote.

Il se retourna vers la nouvelle venue et ajouta sur un ton plus posé parce sa petite séance d’aérobic lui avait permis d’évacuer une partie de son stress :

« Moi, c'est Jim au fait, et j’me rappelle pas qu’on se soit parlé au téléphone, faut que tu me remplisses ce formulaire … et que tu me donnes tes disponibilités pour … demain disons.
Tu t’appelles comment et t’acceptes quoi au juste ??? »

Il sortit les formulaires 6007A de couleur blanche, 50a24 de couleur jaune, et le BX23-Z de couleur rose qui valideraient l’entrée de June dans la Fantasy Box en tant qu’actrice et qu'Athéna lui avait bien recommandé de faire remplir à toute nouvelle venue.
Et bien sur, il ne se rappelait toujours pas que la nouvelle venue postulait en fait au poste de chargée de communication ... et non pas à celui d'actrice.

« Bouges pas ton cul de là, j’reviens de suite ma poulette, ah ouais, au fait, bonne nouvelle t’es embauchée … »


June resta bouche bée devant le ton et la faÇon dont le directeur des embauches luis avait parlé... d'un coup elle se mit a douter de sa fonction et de l'entreprise.. il avait été tres familier et l'avait même tutoyer. Non pas qu'en tant normal Ça la gênait mais pour un entretient pour un job si !

Puis elle le vit partir pour s'agiter et hurler sur un camion qui apparement ne dechargeait pas au bon endroit.. mais il était qui lui au final... des bureaux cramés ressemblant plus a une decharge publique au'aux locaux d'une vraie boîte, un directeur d'agence plus que douteux.. elle etait embauchée alors qu'elle n'avait pas encore donné son cv ou parler de son experience dans l'evenementiel....

Et tout devint encore plus etrange lorsqu'il lui demanda ce qu'elle acceptait.. il ne se souvenait même pas de son nom et de leur conversation telephonique.. pas très pointilleux le directeur....

- Ce que j'accepte ..? vous voulez dire ce que j'aime couvrir comme style d'evenement ? a vrai dire un peu tout... les animations de la ville, les mariages..

Et avant même d'ecouter sa reponse il sortit une feuille de couleur, probablement le contrat a lire et a signer pour comecer le plus tòt possible le travail. Mais June pour une fois n'allait pas foncer dans le tas sans ouvrir un peu les yeux.. cette histoire là lui paressait trop louche.. elle devait en savoir un peu plus sur ce qui l'attendait..

Heu.. pourquoi vos ocaux sont brûlés.. je sais pas si vous vous souvenez de notre conversation je postulais pour une place en agence d'evenementiel... mais vos bureaux m'ont tout l'air d'un hangar de recel lanÇa-t-elle en plaisantant.. j'voudrais etre sure qu'on soit d'acccord sur le travail que j'aurais a effectuer avant de signer.

Les trois formulaires disparurent comme par magie dans un froissement de papier au creux de la main de Jim, inutile de faire remplir à son attachée de communication un formulaire sanitaire, et inutile aussi de lui faire signer le formulaire qui lui demandait quelles étaient ses limites et ses préférences en matière de relations sexuelles. A la limite ce genre de questions aurait pu passer pour du harcèlement …

Il claqua des doigts comme ses souvenirs lui revenaient puis se retournant vers elle lui tendit la main en reprenant une attitude plus formelle et un ton normal :

« Jane Hickles, c’est ça ? Je me rappelle maintenant. Tu es étudiante, et tu me disais être intéressée par un travail dans une agence d’évènementiel.
Moi c’est Jim, et si on doit travailler ensemble, tu me tutoies d’accord, ce sera plus simple ...

Bon, alors je t’explique le topo afin que tu réalises où on est ici :

D’abord les locaux : Ca c’était, ben oui, j’parle à l’imparfait, les locaux de ma société auxquels un débile a décidé de foutre le feu pour une raison que j’ignore.
On venait à peine de s’installer que tout est parti en fumée, ce qu’est pas trop grave puisque le bâtiment était presque vide et qu’on bouge aujourd’hui puisqu’une associée m’a trouvé pour presque rien de nouveaux locaux … 900-950 mètres carrés de bureaux et de plateaux en périphérie du San Jose District ...
Bref, comparé à ici, le rêve quoi ! »

Il accompagna son petit exposé d’un geste destiné à bien montrer à la possible embauchée que les lieux avaient en effet bien souffert de l’incendie, marrant ça, elle elle voyait ça comme un entrepôt à recel, lui il y voyait plutôt une zone qui aurait connu la guerre … Comme quoi chacun réagissait avec sa sensibilité propre, enfin bref, il préféra s’abstenir de relever l’allusion sur le fait que l’endroit semblait louche … et misa sur le fait qu’elle serait suffisamment en manque d’argent pour ne pas refuser sa proposition, c’était la cinquième candidate qu’il auditionnait dans ces conditions difficiles ...

Et à l’instinct, elle lui semblait la plus à même de faire l’affaire et d’accepter sa proposition.

Alors, il continua sur un ton égal son explication tout en observant le camion à plateau dont le chargement semblait être une Ferrari rouge et qui négociait son virage au loin entre deux bâtiments :

« Ensuite le boulot : organiser la communication ça veut dire qu’on invite les actionnaires dans quinze jour à une soirée évènementielle.
Y’aura un p’tit show pour présenter la boite, c’est toi qui feras la speakerine bien sur, et puis un beau discours avec plusieurs intervenants, un cocktail dînatoire (dans les cent cinquante personnes), et même une fin de soirée pour les V.I.P’s soit sur un yacht soit dans une boite de nuit.
J’veux la presse, et aussi une autorisation de la mairie pour faire venir quelqu’un en hélicoptère et la déposer ici !
Et il faudra aussi un service de sécurité béton, pas question de voir un débile jouer avec son Zippo.
Et même au besoin j’veux quelqu’un de la municipalité qui vienne ici au moins pour la première partie de soirée. Après tout, on crée des emplois aux gens de cette ville, alors y’a bien quelqu’un de la municipalité qui peut se bouger les fesses pour nous renvoyer l’ascenseur …

Tu penses que tu pourras organiser ça ? T’as de l’expérience la dedans ? »

Toute cette partie la fut dite sur un ton calme et professionnel, le ton de quelqu’un qui sait ce qu’il veut et ce faisant, il sortait le contrat d’embauche de June Eagles de la protection plastique qui le protégait.

Il réalisa mais un peu tard qu’il avait joyeusement écorché ses noms et prénoms. Et alors, elle allait pas lui en faire un fromage non ?

La responsable de com, c’était la soupape de sécurité entre lui, les investisseurs et le monde extérieur.
Alors si elle était venue chercher de la considération, ben elle pouvait toujours postuler en tant qu’actrice, il lui en manifesterait autant qu’il en avait manifesté à Taylor, à Heather ou à April, et sinon c’était à elle de décider si elle prenait ou pas les 650 dollars par mois qui accompagnaient ce job de responsable de communication.

C’était pas bien payé d’accord, mais à priori, son statut dans la fonction c’était « Junior », et à mi temps encore, alors maintenant que c’était à elle de décider et de parler, il posa le contrat sur le capot de la voiture incendiée afin qu’elle puisse l’étudier ….

June ecouta le 'patron' deballer tout ce qu'il avait a dire..il lui expliqua vaguement les raison de l'etat des locaux.. puis les fonctions que le poste a pourvoir dispensait.. tout un plan de communication pour une soiree histoire de 'vendre' la boite avec de gros poissons du milieux et unshow a l'americaine avec une arrivee en helicoptere.. il voyait grand.. a la limite d'etre megalo meme.. d'où allait il sortir suffisement d'argent ? quand on voyait les locaux ..difficile de l'imaginait roulant dans l'or... enfin bon..
Elle ne releva pas lorsqu'il ecorcha son nom...

-J'ai deja organisé ce type d'evenement auparavant pour un magazine people, j'ai de bonnes adresses.. mais il me faudra connaitre le budget que vous desirez mettre dans cette fameuse soiree.. tout cela va avoir un cout consequent.. sans parler de l'helicoptere.. on pourra toujours voir pour des partenariat mais rien n'ai gagné, votre entreprise est trop recentes pour s'affilier aux gros requins du business.. mieux vaut prevoir un budget important..

June connaissait parfaitement ce type de boulot, pendant 1 ans elle avait travaillé pour InStyle un magazine de mode et people tres connu aux Etats unis et autres pays anglophones. Organiser des soirees huppees et soirees a themes n'etait pas compliquer.. ce qui l'etait c'etait de parvenir a convaincre els monstres de la pub de bien vouloir consacrer une soiree de leur planning surchargés pour venir decouvrir la boite en question..

June attendit la reaction du boss, elle connaissait cete fonction per coeur et il aurait tout interet a l'embaucher.. si il ne le faisait pas, elle aurait toujours la proposition de cléo pour trouver un job, et lui devrait se demerder tout seul pour organiser sa soiree 'regardez moi j'ai de l'argent tout brille'.

Chaque soiree mondaine de ce type tournez autour d'un meme theme : organisateurs comme visiteurs jouaient sur leur richesse, il fallait que Ça se voit, que Ça brille, qu'on le sache avant mem de les voir arriver.. voila pourquoi la neo zelandaise avait fini par lacher ce job, ne supportant pas les airs superieurs et meprisants que ce donnait cette foule pour qui elle se demenait..

Bon elle était directe, et plus ils se parlaient plus il devinait qu’il avait déniché la perle rare, celle qu’il lui fallait pour organiser la soirée en question.
C’est sur que de passer d’un boulot chez InStyle à FantasyBox, ça risquait quand même de lui filer un sacré choc culturel, mais bon, elle ne s’était pas enfuie en hurlant et elle posait les bonnes questions.
Il ouvrit d’un geste sec son portable et leva d’un geste impérieux un doigt qui devait vouloir lui imposer le silence. Quelques instants plus tard, il laissait sur un répondeur le message suivant :
« Athéna, c’est Jim, j’ai trouvé une attachée de Com … convenable et qui pose les bonnes questions.
Par contre j’ai toujours pas eu de réponse concernant l’investisseur qui doit nous sponsoriser …
Est-ce que vous pourriez passer ou bien me rappeler ?
Parce que là, il va falloir qu’on discute sérieusement … ».
Il se retourna vers June/Jayne/jane, il savait plus trop … et lui adressa un sourire conciliant destiné à faire passer la réaction maladroite qu’il venait d’avoir :
« Si tu as le temps, on devrait être bientôt fixés sur le budget pour l’évenement en question …
et peut être même avoir l’occasion de visiter les nouveaux locaux …
Parce que ce boulôt ça ne consistera pas qu’à organiser cette soirée … faudra aussi s’occuper de la vente et de la promotion de nos productions … »
Il esquissa un nouveau sourire destiné à masquer tout le stress qu’il ressentait d’avoir perdu ses locaux et de ne pas être beaucoup plus avancé au niveau du recrutement que lorsqu’il avait ouvert sa boite.
Parce que niveau cheptel d’acteurs et d’actrices, son carnet d’adresse en était presque au point mort.
Alors l’évocation de la commercialisation de productions pour lesquelles il n’avait encore embauché personne ça lui filait les jetons à l’avance à Jim …
Il tapota d’un doigt nerveux sur le capot de la voiture qui lui servait de bureau et portable à la main, attendant qu’Athéna le rappelle il se demanda comment toute cette histoire allait se terminer.
Mal surement.