Attente (Libre)

Il était un peu plus de 11h,le métro était pour ainsi dire desert,seul quelques étudiants qui séchaient les cours dont Lyla,un clochard et une grand mère revenant d'avoir fait les courses.Lyla qui n'était pas allée en cours pour changer s'installa sur les bancs en plastique couvert de brûlures de cigarettes,de traces de doigts et d'autres saletées dont Lyla ne voulait et ne préférais pas connaitre l'existence.Cela faisait un peu plus de 2 jours qu'elle ne mangeait presque plus rien et carburait à l'alcool et prenait de l'exta.Son compte en banque était en chute libre ainsi que ses notes,le proprio de l'immeuble menaçait de la jeter dehors si elle ne cessait d'endomager l'appartement.

Le je m'en foutisme de la jeune femme mettait les gens hors d'eux ce qui avait déjà valu à la belle plus d'un coup...Son côté artiste rock 'n roll trash mêler à un mélange de jeune adulte drogué complètement dépassé faisait peur aux gens et faisait de Lyla une asociale sauf avec quelque personne comme elle avec qui elle pouvait se permettre d'avoir quelques contacts sans ruiner leur vie et risquer d'aller en taule.

A droite la grand mère se sentant mal à l'aise avec les gens qui l'entourait s'était mis bien en face de la caméra de surveillance,le clochard demandait des sous aux quelques rares passant,les 3 p'tits pisseux qui séchaient les cours crapotaient en fumant et faisaient les caïds...

Lyla assise la tête entre les mains entendit quelqu'un s'asseoir à sa droite...

[je peux squater? édit: si non, tu le dit, j'efface ^.^]

O.O nan, ça comptait tant que ça le porte-monnaie d’un policier, pris avec un grand sourire moqueur? Bon, d’accord, il n’avait pas jouer dans la finesse et la discrétion. Mais c’était voulu, c’était fou ce que cette ville pouvait être morne quand elle le voulait --’. Alors, oui, il avait recommencer à s’amuser avec les pitits bonshommes en uniformes. Qu’y pouvait il, ils étaient tellement drôles quand ils devenaient rouge de rage et se mettaient à vous courir après en beuglant. D’accord, ils n’étaient pas tous comme ça, mais il les sélectionnaient bien. Il fallait qu’il s’amuse lui aussi, et vu qu’il commençait à manquer un peu d’argent… bon, il en avait toujours manquer, certes, mais ce n’était qu’un détail sans grande importance! :sarc: il ne pouvait donc pas trop abuser de la drogue ou l’alcool. Dommage. Il se démerdait donc autrement. Il la volait. Les gars ivres dans les rues ou il traînait, ça ne manquait pas. Comme quoi, l’argent ne fait vraiment pas tout, les poivros aident bien --’. xD. Non, mais il se débrouillait assez comme ça. Il allait de plus souvent à son job, il plaisait bien aux clients, alors on ne pouvait le virer, mais ce n’était pas l’envie qui manquait à son patron. Mais ça ne suffisait pas. La drogue était cher, la pure, encore plus. Il en avait acheter une assez bonne quantité, tant pis s’il n’avait rien avaler de légal depuis des mois. Il aurait eu du mal à tenir le choc s’il n’avait rien pour le speeder. Mais l’argent commençait à rentrer. Un petit coup de deal juste pour avoir le minimum. Et puis, la nourriture, c’est comme les affaires usuelles, ça se vole. C’était sur, il n’était pas des plus fréquentables, mais bon, c’était comme ça qu’il vivait depuis toujours. Et puis, juste avec son métier de barman, il ne pourrait jamais avoir un véritable toit sous lequel dormir. Et s’il y était habituer, il aurait bien voulu dormir pour une fois dans un vrai lit, sans abuser de la personne à qui il appartenait.

Ainsi, il filait dans les rues, commençant à connaître la ville et ses recoins, il les eu semer rapidement. Heureusement, sa tête commençait à tourner sérieusement. Manque de sucre, a bah il ne manquait plus que ça tient. Bon, ce n’était pas grave, il n’avait pas été attraper, et heureusement, avec ce qu’il avait dans les poches c’était la prison assuré. Et ça ne le tentait pas trop. Il était alors dans le métro, les mains dans les poches d’un air décontracté. Il déambulait un peu, après tout, il y aurait peut être quelque chose à faire. C’était une grande ville, il y avait du monde. Et il traînait tellement qu’il allait finir par en connaître. Un coup d’œil à sa montre; elle datait de son adolescente, pas facile de la garder avec les fréquentations qu’il avait; encore un bon moment avant le boulot. Enfin, à vrai dire, il aurait du y être, laver un peu, ranger… mais son boss s’en chargerait bien. C’était sur, il ne serait pas le meilleur employer de l’année mais bon, qu’on lui pardonne, il y avait tellement mieux à faire. Même si c’était justement, ne rien faire. Et puis, le métro regorgeait de personnes intéressantes. Comme lui, qui flânaient, quelques drogués qui achetaient de quoi faire dans un coin. Il suffisait de connaître un peu le milieu pour savoir ou aller. C’était sur, il était nouveau ici, aucune réputation, pas de clients attitré, et bien heureusement, beaucoup auraient pu le faire chuter. C’était étrange de tout recommencer, ne pas entrer dans une ruelle mal fréquenté sans avoir de connaissances. Étrange mais plaisant. On ne le connaissait pas, cela faisait du bien. Enfin, si, il avait un physique qui ne s’oubliait pas, alors beaucoup auraient pu dire qu’il traînait souvent dans ce genre d’endroits, mais rien de bien méchant.

Il traînait donc, regardant les passants. Il n’y avait pas grand monde à cette heure. Tant mieux. Un clochard vint lui demander quelques pièces. Il plongea dons sa main dans sa poche. Rien, un peu de coke, de l’exta, une seringue. Rien qui ne pourrait lui aller. Il haussa des épaules, désolé, il n’avait pas plus que lui. Quelques branleurs le regardaient en se parlant. Quelques rires. Aussi pitoyable qu’a Tokyo ceux la. Ils étaient tous du même moule. Il se tourna alors et vit un visage connu. Il l’avait déjà croiser dans une ruelle mal famée. Exta. C’était ce qu’elle voulait elle. Une étudiante sûrement, elle était jeune. C’était étrange, il pouvait paraître plus jeune qu’elle à cause de ses origines. Bof, aucune importance, lui s’y était habituer. Il vient s’assoire à ses cotés. La vielle femme se leva et s’éloigna. Il devait lui faire peur. Pourtant, il avait un regard qui inspirait confiance. On voyait qu’il n’était pas con. Un air gentil, mais un percing. Conflit de génération.

« T’as des obligations, ou je peux t’inviter quelque part? »

Direct? Oui, et alors. Il espérait qu’elle se rappellerait de lui; les caméras de surveillances comprenaient le son.

[ pas de problème ^^]

La tête toujours entre les mains,Lyla ne réagit pas quand la personne vint s'asseoir à côté d'elle...Après quelques minutes,la personne à côté d'elle l'invita,Lyla qui n'était pas d'humeur comme la plupart du temps d'ailleurs était prête à l'envoyer balader.Quand elle le regarda elle ne dit rien,sa tête lui était familière,c'était une tête qu'on oubliait pas...

Souvenirs,souvenirs..

Bingo ! C'était le dealer qui lui avait refourgué son exta ! Elle mit sa main dans son sac et vit que bientot elle allait avoir besoin de ses services à nouveau...

"Bien sur..."

Elle lui lança un regard qui laissait comprendre qu'elle se rappelait parfaitement de lui...Comment oublier le mec qui vous vend ce pour quoi pour prener la peine de rester en vie ! La vie,sa vie...Pour la plupart des gens,elle ne vaudrait aps la peine d'être vécu mais pour Lyla el simple fait de savoir qu'elle pourrait consommer de la drogue jusqu'a en crever lui donnait envie de repousser ses limites et de chaque jours se défoncer un peu plus...Classe non ?

Le métro d'la vieille femme et des trois p'tits pisseux était arrivé,ils montèrent dedans,la vieille femme évitant de croiser le regard des deux jeunes et les trois autres faisant des gestes à Lyla pour l'inviter à v'nir la sauter dans un coin...Pathétique ça avait à peine 14 ans et ça pensaient tout connaitre !Elle regarda la caméra de surveillance et regarda ensuite...comment il s'appelait ?....Shuro !

[ouki :p]

La jeune femme devait avoir pas mal de choses dans la tête. C’est toujours comme ça lorsque l’on est différent de la moyenne de toute manière. On ne plais pas à la société puisqu’on sort des normes. Et elle ne nous plais pas. Une droguée. Le genre de personnes comme lui, vivant principalement pour ce petit plaisir d’échapper à la réalité. Quoi? C’est interdit de chercher un peux de repos… oui, malheureusement. Alors ils traînaient là ou ils pouvaient s’enfuir. Là ou il ne faudrait pas. Mais le manque reste un manque, et il ferait tout pour sa dose. Jusqu’à voler le plus connu des dealers. Mais il n’en était pas là. Pour l’instant, ç allait, il avait une petite rentrée d’argent mais ne comptait pas se faire connaître plus que ça. Ce ne serait pas compliquer pour lui de devenir l’un des grands du marché. Mais il avait décider de changer de vie, ce n’était pas pour recommencer la même à un autre endroit… quoi qu’il était bien partis et ça ne lui déplaisait pas mais bon. De toute manière, son visage était assez reconnaissable, rien que pour ses origines. Et puis, il portait souvent des fringues qui ne passaient pas inaperçus. Alors la jeune femme le reconnu rapidement. Elle allait sûrement l’envoyer balader. Et alors? C’était pas comme si ça allait le tuer. Elle eu quelques instant de réflexion avant de remettre un nom sur son visage. Oui, le type qui lui avait vendus son exta. De plus, il ne l’avait pas arnaquer, alors finalement, elle ne dit rien mais fouilla dans son sac. Il compris rapidement qu’elle cherchait à voir combien il lui restait de drogue. Pas assez. Elle accepta son invitation. Il lui sourit gentiment, ravis. Il en avait sur lui. Ce ferait peut être quelque chose à avaler ce soir. Quoi qu’il allait sûrement le voler, comme toujours. C’était un trop bon plan pour le laisser passer.

La vie? Bof, lui on voulait le foutre en taule. Quoi qu’en hôpital psychiatrique serait peu être mieux. Aucune importance, il ne comptait pas se faire avoir. C’était là bas qu’il allait virer fou ouais. Et puis, s’il évitait certains composants ça allait, il ne devenait pas celui qu’il haïssait tant. Dommage, la drogue n’est jamais certifier et on ne sait jamais avec quoi elle à été couper. Classe, oui. Mais in conformiste. Alors elle ne méritait pas de profiter de la vie, ni de vivre, en vérité, pour la plupart des personnes. Pour lui, c’était elle qui était intéressante. Les autres n’étaient que des montons suivant le groupe. Elle avait trouver une raison de vivre alors qu’elle n’avait pas forcément été gâtée par la vie. Oui, elle était bien habillée, étudiante et autre. Mais ce n’était pas ça qui formait les raisons de vivre.

À son regard, elle lui montrait qu’elle se souvenait parfaitement de lui. Il allait prendre de nouveau la parole quand le métro arriva. La vieille ne leur adressa pas un regard. Pas sur qu’elle soit plus en sécurité avec ces gamins qu’avec eux enfin bon. Ces gosses… oui, pathétique était le mot. L’endroit ou on l’avait enfermer durant une bonne partie de son adolescence leur aurait plus profiter qu’a lui tient… quoi que pas sur en fait. Il auraient pu devenir pire. Ils apprendrons bien un jours qu’ils étaient loin de tout savoir… Le jeune nippon leur jeta un regard désolé et moqueur. Ils durent croire qu’il allait se la taper, ce qui n’était pas leur cas, et voulurent sortir du métro alors que les portes se fermaient. Résulta…. Ils eurent l’air affreusement con à se prendre la vitre. Le jeune dealer mis un temps avant de calmer le fou rire dans lequel il était soudainement pris. Non, trop bon. Voilà, c’était pour ça que lui continuait à vivre. Il avait bien envie de s’éclater un peu avec ce genre d’abrutis. Uns fois calmé, il se retourna vers la jeune femme.

« Lyla c’est ça? ^.^ . T’attend un métro ou on peux aller autre part? »

Quelques minutes plus tôt, elle avait regarder la caméra. Elle avait compris.

Parfait.

Bang ! Les trois cons venaient de se taper la honte en se cognant contre la vitre du métro....Shuro s'exclaffa,c'est vrai c'était marrant et c'était bien fait pour eux,Lyla seserait bien moquer mais elle ne put que sourire d'un air moqueur en regardant les trois gamins partir avec le métro...

Il se souvenait de son nom...C'était déjà ça...Il lui demanda si elle prenait le métro ou s'ils aillent autre part...Lyla ne savaient même pas ce qu'elle était venue faire dasn le métro en réalité,elle n'avait rien à faire,elle voulait juste prendre l'air et ne pas rester cloitrée chez elle,ça aurait vraiment fait la caricature du drogué type...

"Non ça va j'avais rien d'important à faire,on peut aller quelque part"

Elle savait qu'elle ne devrait pas partir avec lui,elle savait que si elle partait avec lui,elle lui achèterait de la came...Enfin,elle ne vivait plus que pour ça maintenant alors pourquoi se priver !
Une famille type de 3 enfants arriva dans le métro,regards heureux,rires,enfants qui sautent partout...Cela ne déplaisait pas à Lyla mais elle ne s'imaginait pas avoir une vie comme ça,jamais ! Rien qu'au regard que les parents du coin des yeux à Shuro et à Lyla,on devinait qu'ils les méprisaient,qu'ils les voyaient comme des choses à évityer à éloigner de leurs enfants,de la société même...

Contrairement à Lyla, shuro s’éclatait bien sur ces trois abrutis, la tronche contre la vitre. Limite la joue écrasée. Hilarant, pathétique surtout. Mais Lyla ne leur adressa qu’un sourire moqueur. Vu tout ce qu’il avait dans la tête, le jeune homme devrai être écrouler dans un coin en n’en pouvant plus. Mais justement, là il avait envie de s’éclater. Il merdait bien dès qu’il commençait à trop réfléchir, alors lorsque ça allait, qu’il avait décider d’un peu se remuer, plutôt que de rumeur le couteau dans la plaie, il avait envie de se marrer pour rien. La dope était très pratique pour ça justement. Mais quoi, il n’allait pas se shouter avec une cliente, ce n’était pas correct… quoi qu’en fait, il n’en avait strictement rien à foutre. Il ne la considérait pas comme une cliente de toute manière. Il avait bien repris tout ça, mais ne se voyait pas comme un dealer à nouveau. Bon, il le redevenait et avait largement la maîtrise. Il était loin d’être un bleu dans le métier quoi, malgré son apparence. Pas pratique, on l’avait un jour pris pour un adolescent. Cette personne avait d’ailleurs parfaitement retenu que ça n’était pas le cas. Le nez péter…

« tu m’apparais avoir besoin de t’éclater un peu toi. T’es étudiante? »

Il s’était lever, lui faisant signe de le suivre. Oui, si elle le suivait, elle achèterait, et alors? Lui ça l’arrangeai et elle en avait besoin. Quoi qu’il ne savait pas dans quel état d’esprit elle était. Mais c’était une droguée ça s’était sur. Pas une à qui il devrai refuser d’en vendre parce qu’elle veux juste commencer. Lui il était dedans et bien, elle il ne savait pas. Il ne la forcerai pas, au contraire. Mais, en vérité, il avait bien envie de se prendre une dose avec quelqu’un. Mais de là à l’embraquer dans ses merdes ce n’était pas sur. Quelques pas, ils leur fallait sortir de cet endroit avant de pouvoir parler librement. Il y avait encore des caméras partout.

Une famille. Ça lui paraissait être un autre monde tout ça. Père avec des enfants. Pourquoi pas. Mais là, c’était loin d’être dans ses projets. Pour l’instant il profitait. Après il verrait. S’il était toujours en vie et libre du moins. Car il n’avait aucune envie d’être celui qu’il était parfois avec quelqu’un qu’il aimerait et des enfants. Ils ne seraient pas en sécurité, et cela, il le refusait juste. La mère leur jeta un regard de mépris. Logique, l’instinct de protection. Elle ne les connaissait pas pourtant. Quoi que si elle le connaissait lui, ce serait la police qu’elle appellerait. Il ne lui rendis qu’un magnifique sourire. La petite fille lui fit un coucou. Son regard inspirait confiance. Il lui sourit puis se détourna. C’était ça une vrai famille? C’était comme ça que c’était sensé marcher? Les parents qui font attention à ce que les enfants ne tombent pas sur les voies. Quoi que ça avait été comme ça durant un moment pour lui aussi. Avant cet accident. Son regard était brutalement passer au sombre alors qu’il était rieur quelques secondes plus tôt. Le retour de la gamberge. Il ne savait apparemment pas s’en empêcher. Réfléchir, toujours. Il était totalement partit dans ses pensées et devait suivre la jeune femme. Il était bien loin brutalement.

Ils s'étaient levés et marchaient maintenant côte à côte,passant à côté de la belle petite famille,Shuro demanda si Lyla était étudiante...Cela se voyait tant que ça ? Y avait il marqué sur le front de la jeune Anglaise "ETUDIANTE !!!!" ,lui avait elle dit à leur dernière rencontre ? ou l'avait il tout simplement deviné...Il avait aussi dit qu'elle aurait besoin de s'éclater...Apparement ça aussi était inscrit sur le visage de l'anglaise...
D'un accent bien british qui énervait toute les racailles du coin,Lyla répondit à Shuro :

"Oui ça fait un bon moment que j'me suis plus vraiment éclatée...Oui j'suis en dernière année en section art..."

C'est vrai elle s'éclatait en se défoncant mais généralement seule,elle n'avait plus eu beaucoup de trip avec des autres personnes depuis qu'elle avait quitté l'Angleterre...Seul c'était pas la même chose.

"Et toi tu fais quoi ?"

Il y avait encore pas mal de caméra elle supposait comme la plupart des dealers assez jeune que Shuro avait un deuxième emploi plus légal...Puis d'un coup on aurait dit que le visage de Shuro venait de se décomposer d'un coup,d'un coup on aurait dit qu'il s'était souvenu d'un truc grave,de quelque chose de traumatisant...Lyla ne savait pas si elle devait dire quelque chose à propos de ce changement brutal,après tout ce n'est aps comme s'ils entretenaient une relation...Elle verrait bien si plus tard l'occasion de se présentait,peut être demanderait elle....

[ dsl du temps de réponse, je merde un peu ces temps ci :gla: pas mal de trucs a fiare ^.^ mais jvais essayer d'être d'avantage là =p ]

Et bien, qu’aurait il bien pu demander d’autre? Elle lui en avait parler, oui, elle l’avait sous entendus, ou bien avait il deviner d’après son âge. Il n’en savait rien, il était déjà partit dans ses pensées. Sombre désespoir que de voir si bas que nous sommes tomber. Triste désillusion que de voir ou nous avons amener nos proches. Alors il avait tout quitter. Comme ça, du jour au lendemain. Car c’était sa manière de faire, une fois qu’il se rapprochait trop des personnes, il s’éloignait sans même s’en apercevoir pour aller tout recommencer ailleurs. En espérant que ses démons le lâcherons enfin. Car il était près d’une jeune femme en ce moment même, une étudiante camée, une jeune femme qui voulait vivre, mais cela juste a travers ces merdes qu’elle prenait. Injection, poudre, fumée, ça ne changeait rien, c’était la même merde qui vous prenait le corps et l’esprit et vous faisait tout oublier a part son existence. Une merde qui pourtant arrivait a faire vivre certaines personnes qui auraient craquer sans elle. Des personnes comme lui, comme elle peu être. Harcelés par la vie, perdus a force de chercher a se trouver, fatigués de courir et épuisé de continués a se battre. Fatigue mentale et désespoir physique. Tant de choses que ce genre de famille, ces « gens biens » ne pouvaient pas comprendre. Lorsque dans chacun de nos actes, on ne voit que la connerie qui s’en suit, faut il réellement continuer et se donner une chance de réussir ou cette chance nous a t-elle été arrachée il y a bien longtemps? Et s’il était tout simplement fait pour merder, pour faire partit de ce côté de la société. Ceux que l’on rejette, que l’on maudis, ceux qui ne sont que le triste aspect. Dépourvus de réelle humanités car ils ne les connaissaient pas. Pour lui, c’était cette partie qui se révélait intéressante. Celle qui résistait, qui avait été frapper dès sa naissance. Celle qui tenait le coup malgré les humiliations, malgré tous ces cris qui voulaient sortir, ces larmes muettes. Et tous ces gosses de riches qui finissaient par se foutre en l’air car ils étaient fait pour comprendre les choses mais qu’ils n’avaient pas été habituer a se battre jusqu’à la fin pour s’arracher de nos chaînes? Si le côte déshumanisé n’était pas celui que l’on pouvait croire? Shuro avait compris qu’ici, avec cette merde dans sa poche, ici les choses étaient différentes, mais personne ne s’enfermait devant de tels faux semblants. Ici l’on mentait que sur nos états de santé. On faisait croire a nos proches que ça allait alors que pouvait s’écrouler a chaque pas. On mentait pour faire croire a nos adversaires qu’ils n’avaient aucune chance et qu’ils devaient capituler plutôt que de s’entêter car nous étions bien plus fort alors que ce n’était pas le cas. Tout simplement car dans la rue. Les personnes qu’il appréciait avaient bien compris qu’ils n’étaient strictement rien.

« Art… sympa. Faudrait remédier a ça dit moi. Quoi que je ferait que te faire prendre des risques. Et que si tu t’avère de ceux que je supporte pas, tu finira par me frapper plus qu’autre chose. M’enfin bon. »

Se défoncer seul était bien, mais on s’en laissait vite. Enfin, non, on ne peux plus s’en passer rapidement mais ce n’est pas la chose la meilleurs en ce monde. Lui.. Et bien lui le faisait toujours ces temps ci car s’était par manque. Il n’avait pas encore d’amis dans ce coin et n’était là que pour y échapper. A ces amis. Il ne voulait les faire de nouveau souffrir.

« Hein? Ce que moi je fait? Chieur professionnel doublé d’un emmerdeur et quelques fois, quand j’y pense, bar-man =p. »

C’était vrai, on ne lui demandait presque jamais ce qu’il faisait. Lui pouvait bien poser des question mais on ne lui rendait que rarement. On ne parlait pas aux déchets. Et c’était pas plus mal. Pas que la compagnie humaine l’importunait. Mais celle de certains oui. Mais elle, elle avait un vice en commun. Elle vivait les mêmes regards. Ces regards qui faisaient tant rire le jeune asiatique. Mais qui pourtant le blessait sans même qu’il ne s’en rende compte. C’était encré en lui. Il s’y était habituer, a cette souffrance récurrente. Souffrance intense dans ces yeux. Tout ce qu’il avait endurer. Tout ce qu’il avait subis et qui ne pouvait s’empêcher de ressortir. Il n’arrivait plus a ne pas réfléchir. C’était essentiel chez lui, mais tellement douloureux. Toutes ces images qui défilaient devant ses yeux. Ces corps, cette souffrance, tout jusqu’à la mort de son frère, jusqu’au rejet de ses parents. « ~ta gueule salle gosse. Aller arrête. Ya du monde là. T’as pas le droit de lui faire subir tes états d’âmes. T’es seul, tu le restera. N’essai même pas de chercher de l’aide, tu fait souffrir tout ceux que t’approche. Tu ferait mieux de crever.~ » petite voix dans son esprit aux dires si véridiques. Mais alors, il se retourna vers la jeune femme en lui faisant un énorme sourire. Un groupe de policiers passaient près d’eux. Et, sans qu’elle n’est pu comprendre quoi que ce soit, il leur avait balancer une pierre qui traînait sur le rebord de le fenêtre d’un comptoir. La vitre brisée, quelques jeunes ne devaient rien avoir a faire la nuit précédente.

Il avait attraper la jeune femme par la main et était partit en courant, passant a un embranchement, l’obligeant a baisser la tête, ce que les flics ne firent pas. Et paf, deux dans le carreau, bien pratiques ces petites pancartes. Et puis, il avait lâcher la jeune femme, elle le suivait ou non. C’était a elle de voir, mais au moins, elle ne passerait pas sa matinée a se morfondre. Au moins là, elle ne pensait a rien que d’éviter de se faire gauler par le groupe de flics, cinq environs, enfin, trois a présent. Au moins de cette manière, elle ne les voyait plus, ces regards inquisiteurs.

( désolé de l'énorme retard !!!!! Mais ces temps ci j'suis en blocus et en exam xD)

Avec Shuro,Lyla avait l'impression d'être considéré par le jeune homme comme son égal. La plupart des gens dont pas mal de crétins finis considéraient Lyla et les autres personnes ayant un style à part comme une race inférieur qui ne vallait même pas la peine d'être considéré !
Marchant toujours côte à côte,Lyla aperçut un groupe de policier,matraque à la main et allure fière.Ils dévisagèrent Shuro et Lyla les regardant avec mépris prêt à leur cracher dessus s'ils auraient pu.Puis en quelques secondes,Shuro attrapa une pierre et la leur lança,il prit la main de Lyla et partit en courant à une vitesse folle ! Lyla ne savait plus où elle était et ne comprenait plus ce qu'il se passait ! Après avoir semé les flics ils s'arrêtèrent,reprenant leur souffle,Shuro regardant Lyla attendant sa réaction. Appuyé contre le mur,la jeune anglaise regarda le jeune homme avec surprise puis d'un coup elle se mit à rire comme elle n'avait plus rit depuis longtemps déjà . Pendant plus d'une minute elle avait effacer la drogue de sa tête ! Cette drogue qui lui pourrissait la vie mais qui pourtant était sa raison de vivre. Cette minute d'oublie lui paru une éternité .

"Waouu t'es dingue mon vieux ! Mais j'avais plus ris comme ça depuis un bon moment..Merci "

C'était vrai,des coups comme ceux la Alex n'en avait plus fait depuis presque plus d'un an maintenant . Depuis son départ d'Angleterre elle n'était plus toute à fait la même,une part d'elle était restée la bas.Bien sur des coup foireux comme ceux avec Milla,ou des petits vols oui elle en avat fait,elle en avait au compteur mais pas des trucs comme ça non plus depuis qu'elle avait quitté ses amis,les seuls amis qu'elle ait eue .

Elle regarda Shuro,elle lui sourit.Un courant d'air fit soulevé quelques mèches de cheveux de Lyla.Elle tourna la tête et vit un métro passer au loin.Et entendit un bruit ou plutot un grognement.ouais les trois autres flics au biceps ultra développé les avaient retrouvés.Lyla regarda Shuro et cette fois c'est elle qui l'attrapa par la main,elle couru et se dirgea vers l'endroit ou était passé quelques secondes avant le métro.Le prochain métro n'arrivait que dans 1 minutes indiquait le compteur.Elle sauta et alla de l'autre côté des voies. Les trois flics n'arriveraient pas à temps pour passer.... en elle l'espérait.Elle s'était arrêtée et regardait à présent les flics courir le plus vite possible vers eux de l'autre côté des voies .

Si la jeune femme avait cette impression, c’était fonder. Le jeune homme ne la considérait absolument pas comme quelqu’un d’inférieur a lui, il se serait même trouver bien plus loin qu’elle dans une quelconque hiérarchie. Il était bien plus détestable et moins humain qu’elle, il le savait parfaitement. Alors non, non bien sur, il ne faisait pas partit de ces abrutis qui se croyait meilleurs que d’autres, il n’était pas de ceux qui la regarderait de haut quoi qu’elle face. Il ne la connaissait pas, et puis, de nouveau, lui ne valait rien. Elle, si. Il méritait de mourir, elle de vivre. Mais aucun n’étaient bien dans leur peau. Aucuns se levaient le matin le sourire aux lèvres avec une envie de vire. Sauf que justement, malgré le fait qu’il veuille se supprimer la plupart des jours, s’il était toujours debout après tout ça, c’était bien qu’il voulait rester en vie, quoi qu’il se passe car, après tout, il avait envie d’essayer, de casser toutes ces chaînes, de s’en, sortir. Il voulait vivre, mais pas au prix de tant de personnes. Alors ses pensées s’entrechoquaient, se nuançaient chacune pour finir par contraster avec une autre et dire le contraire d’une troisième. Se battant dans un combat démesuré et dont la fin était incertaine, il finissait par se perdre dans ses propres méandres. Ses propres actes le tuait. Ces cris… ces douleurs… il était toujours le fautif, tout venait de lui. Lui disparu, les choses se calmeraient, et la vie reprendrait son cour, une bonne dose de souffrances évanouies. Pourtant il voulait continuer. Étrange contradiction en lui même. Toute cette souffrance qu’on pouvait apercevoir dans son regard venait tout d’abord de là. puis, sûrement, de tout ce qu’il avait perdu aux fil des années.

Le jeune homme avait fini par motiver les policiers a les suivre au pas de course. Motivation peu être un peu… abusive disons. Mais bon, ça allait, il ne blessait personne, et son but s’avéra fondé. La jeune, une fois arrêter l’avait regarder puis avec exploser d’un rire clair qui sonnait juste. Il l’avait regarder un moment puis, comme si son rire s’était communiquer, il avait rit de bon cœur a son tour. Ne plus rien penser, ce n’était pas ça qu’elle essayait quand elle se droguait? Fuir tout ses problèmes, comme il le faisait. Comme quoi, ça n’était pas bien compliquer de vivre brutalement sans penser a autre chose qu’a s’en sortir. Suivre un guide qui vous tient la main.

« Mais c’était bien le but. »

Sauf que la sienne restait désespérément vide. Solitude misérable pour toute justification que la promesse de tenir, même le regard vide, perdu au centre de la mort. Car l’enfant qui avait grandis trop vide devait rester debout, car les autres ne le feraient pas pour lui.

« Je n'ai rien fait, ne me remercie pas. »

Un remerciement. Il ne l’acceptait pas. Personne ne lui devait rien. Ce ne serait pas maintenant que ça changerait. Et puis, la vérité, c’était qu’il ne savait comment réagir devant les remerciements ou une quelconque marque d’affectation. Ou, simplement, d’acceptation. Avant que le jeune homme n’est eu le temps de repartir dans ses pensées, la jeune femme l’attrapa à son tour, l’emmenant dans son sillage. Une main dans la sienne, étrange sensation. Quelques cris derrière eux l’arrachèrent à cet étrangeté pour lui permettre de courir, l’esprit de nouveau connecté au corps.

Leur course les mena a travers un rail de fer ou venait de passer le métro, s’évanouissant dans les ténèbres du couloir qu’il suivait si fréquemment. Ils le traversèrent alors rapidement, ne s’arrêtant que sur les quais pour se retourner et contempler la venus de la police qui serait bientôt coincée. Mais un petit objet était rester au milieu des rails et le jeune homme le reconnu tout en faisant un pas en avant. Une seringue. Sa seule qui avait quitter sa poche sans qu’il s’en aperçoive. Mais un bruit sur sa droite le fit s’arrêter net. Le métro. La drogue ne valait pas ça. En revanche, celle d’un autre oui. L’un des policier venait de s’avancer vers sur la voix. Lâchant la main de Lyla, le garçon porta sa main à l’arrière de son jean, rivant son regard dans celui du policier qui s’immobilisa tendis que le nippon avança sans crainte. Le flic avait déjà vu ce regard, c’était celui d’un taré qui voulait tuer. Et la main de son agresseur semblait aller chercher une arme. Sauf que d’arme, l’agresseur en question, qui n’était autre que Shuro, n’en avait pas. Voyant que l’autre c’était arrêter net, il sourit quand le métro coupa le lien visuel qui s’était créer. La tension s’évanouie alors comme si ne rien était. Il éloigna alors sa main de ce qui aurait du être l’endroit ou un flingue l’attendait. Il fit alors demi tour, fixant la jeune femme. Il remonta sur les quai comme s’il ne s’était rien passer et lui sourit.

« Bien calculer »

Ce regard, elle ne l’avait pas vu car il s’était éteint avec le métro. Regard qui reflétait cette envie de faire souffrir. Regard glacial et irréel, crus et inquiétant il semblait refléter de la folie pure. Et il y avait fort a parier que le policier avec été pris de frisson devant la vision de ce regard si dur qui ne semblait vouloir que le tuer lentement. Sauf que le garçon n’aurait jamais voulu ça. Mais ces précédents le lui avait offert.

Bientôt, sur leur propre quai, des voix s’élevèrent, encore loin d’eux. Ils avaient du prévenir quelques uns de leur collègues.

« On ferait peut être bien de bouger. Pure suggestion. »

Il regarda la jeune femme, comme s’il attendait qu’elle se décide a quelque chose puis dévia son regard, qui était redevenu calme et doux, dans le dos de la belle. Une porte: Exit. Bonne idée ça tient. Il lui fit un signe de tête et l’entraîna dans l’ombre des escaliers de sortie. Bientôt, ils furent dehors.

A la vue de leurs reflets dans un panneau publicitaire,Lyla se demanda pourquoi les gens les regardait si étrangement...C'est vrai ils ne se mêlaient pas à la foule question vestimentaire...Habillée de converses noir,slim 3/4 bordeau, t-shirt à l'effigie de ces idoles les Beatles ,un épais très noir sur ses yeux Lyla passait pour une excentrique,rebelle même pourtant,ce n'était aps le cas . Toutes les pouffes qui se balladait le cul à moitié à l'air était bien plus provocant que le style de Lyla ! Mais bien evidemment la société préférait voir des filles de 15-16 ans se ballader à moitié à poil dans les rues plutôt que d'aimer l'originalité,ce quie n'était pas comme tout le monde...Voila pourquoi le monde était un tel bordel ! Le regard des gens,ça en avait fait perdre la raison à plus d'un,plaire à sa famille,à ses amis,à son boulot,son patron,ses collègues,ses voisins,...Voila ce qui faisait qu'un mec de 40 ans père de famille marié depuis 15 ans qui a tout pour être heureux se jette en dessous d'un train...C'est à se demander pourquoi il n'y a pas plus de gens qui pète les plombs...

Arrivée de l'autre côté du quaie,Lyla vit la setringue de Shuro posé au milieu des rails,scintillante,qui n'attendanit qu'une chose être ramassée.Lyla crut pendant un cours moment que Shuro allait aller la rechercher puis elle vit que le jeune homme était occupé à quelques choses de bien différent.Et le policier l'aperçu aussi.Le visage du flic devint blanc et on aurait dit que quelque chose le terrorisait . Elle regarda dans la direction du flic et vit qu'il regardait Shuro ,elle crut que c'était à cause du geste que Shuro faisait,on aurait dit qu'il allait sortir une arme...Mais l'officier de police avait l'air bien plus térrosisé que par un simple gars armé,on aurait dit qu'il....Pafffff
Le métro était passé,Lyla ne reverrait plus jamais ce policier au teint blaffard et à l'expression si confuse...Pourtant ça l'intriguait,elle regarda Shuro qui lui fit remarquer qu'il ne vallait mieux pas s'attarder ici.Il avait raison.Il proposa de tenter une évasion par la sortir de secours...

"Bonne idée !"

Cette fois ci ils ne se tenaient pas par la main,ils ne couraient pas non plus d'ailleurs.D'un pas pressé ils arrivèrent devant la porte et prirent l'escalier qui allait les conduire devant la station de métro en plein centre de San Fransisco . Arrivé dans la cage d'escalier,Lyla écouta et n'entendit plus de bruit provenant des flics à l'extérieur.ils avaient du laisser tomber .Elle s'assit quelques instant sur les amrches de l'escaliers,histoire de reprendre un peu son souffle et de se remettre des 20 dernières minutes.

"Ca t'arrives souvent de faire des trucs comme ça ? xD"

C'est vrai si chaque sortie se terminait en courses poursuites avec les flics,ça vie ne devait pas être tranquille.C'était pourtant ce qui lui permettait peut être de se dire que la vie vallait le coup.cette vie que Lyla détestait mais qui pourtant lui était si précieuse.Se lever le matin ets avoir qu'elle allait avoir sa dose,lui permettait de continuer jusqu'a ce que quelques choses de plus fort que son envie de drogues ait raison d'elle:la mort.Lyla n'en avait pas peur,justement elle se disait qu'elle ne regretterait rien ou plutot personne. Et qu'en retour personne ne la regretterai non plus...

Elle regarda Shuro,lui sourit et se releva avec l'aide de la rampe,elle regarda la multitudes de marches qu'il y avait avant d'arriver au dessus et su déjà que c'est 2-3 paquets de clopes quotidienne n'allait pas l'aider niveau endurances pour monter ces marches ....

A vrai dire, non ils ne se différenciaient pas tellement. Les goûts vestimentaires, ça il n’y faisait même pas attention. Loin d’être de ceux qui se basent la dessus pour connaître les gens, il n’y faisait même pas attention. Sinon, il se serait sûrement dit au premier abord qu’il n’appréciait pas vraiment sa manière de s’habiller. Les slims particulièrement. Mais il n’en avait vraiment rien a foutre. Elle s’habillait comme elle aimait, il n’avait rien a voir la dedans. Et puis, il avait vécus dans d’autres mœurs depuis tout petit, il ne s’accoutumerait jamais a tout. Sur ce, il ne serait jamais aller tant vers elle si elle avait été affublée d’une mini jupe et d’un décolleté, bref, il fallu bien le reconnaître, le physique et le style vestimentaire particulièrement signifiait toujours quelque chose. Il marchait juste au juste inverse des autres. Lui était bien loin de n’importe quelle mode européenne. Même japonaise a vrai dire. Il était de ceux qui se différenciaient au Japon. De ceux que l’on ne pouvait pas rater. Quoi que là, il était assez sobre vu ce dont il était capable. Classe, il était remarquable au premier regard sans pour autant être d’un exentrisme pitoyable. A vrai, dire il ne faisait pas vraiment attention au physique. Mais il était de ceux dont on voyait directement qu’ils ne plaisaient pas a la société. Et il suffisait de le connaître pour comprendre qu’il ne se plaisait pas a lui même ni a beaucoup d’autre. Et pourtant, quelque part, il était réellement intéressant et attachant. Peu être car il aurait tout donner, absolument tout pour ceux qu’il aimait, mais qu’il souffrait a en crever, alors avait fini par s’éloigner pour protéger ses proches. Un jeune homme bien étrange, qui ne semblait ne rien avoir d’humain a travers certains gestes ou regard. Et qui pourtant, était bien plus que ça, par cette souffrance justement. Cette fois ci par exemple, il était lui même, cherchant a aider bien qu’implicitement quelqu’un qu’il ne connaissait pas, voulant juste la voir sourire car elle était différence et subissait cette différence. Alors que quelques minutes plus tard, son regard était devenue tellement froid qu’il en avait paralyser un policier. C’était con, la plupart de ceux qui avaient vu ce regard en avaient terriblement souffert, torturer a mort, brisé jusqu’au plus profond de leur âme. Et là, il avait sauver un homme en l’obligeant a s’arrêter. Bien sur, il se serait fait faucher par le métro. Comme quoi, bien des choses sous une apparence négatif. Le propre de lui même. Du positif mais effacer par un surplus de merdes. Dont lui même.

Nouvel éclair de tristesse dans son regard et il avait repris un contrôle total et un calme doublé d’une sincérité parfaite. Lui, sans ses démons pourtant présents sous la surface. Il n’était juste pas un ange. Mais bivait bien trop dans la pénombre a son goût. Mais on ne choisi pas sa voix, quoi que l’on en dise. Il en avait choisi une bonne partie, l’avait totalement assumer, bien plus que la plupart des personne de son âge l’aurait fait. Mais ça n’était jamais assez.

« n’est-ce pas? =D »

Il lui avait souris, déconneur puis s’était enfoncer dans la pénombre avec elle. Sombre assurance qu’offraient les escaliers. Puis les bruits que faisaient la police s’était évanouie, les laissant seuls dans l’obscurité. Une question, il souris a la jeune femme. Sourire enjôleur par sa sincérité. Un de ceux que l’on ne voyait que très peu dans ce monde d’hypocrites. Malgré le risque que ça représentait que de se montrer a cœur ouvert, il n’y avait pas un masque sur son visage. Mis a part celui qui protégeait la jeune femme d’une menace dont elle n’avait pas conscience.

« Je n’arrive pas a me motiver pour marcher dans ce monde de fous. Alors autant trouver des raisons de courir. »

Puis il s’était retourner, comme si ça avait été normal d’entendre quelqu’un être aussi franc, et, a vrai dire, surtout un homme. Rare de voir quelqu’un rester sincère et dire ce genre de choses a l’oral et sans blaguer. Mais il réfléchissait sans arrêt, les pensées fourmillaient dans son esprit comme autant de mauvais souvenirs et de reproches. Garçon tourmenté mais intelligent, c’était surtout par sa manière de vivre qu’il se différenciais. Pas par n’importe quel aspect physique qu’il soit, pourtant déjà marquer par ses origines.

Ils sortirent finalement à l’air libre, le soleil éblouissant le jeune homme qui dut se protéger les yeux.

« Dit, si un jour tu comprend la réaction de ce type de l’autre côté du rail. J’suis sur que c’est pas passer inaperçu alors silteplais; si un jour tu comprend. Barre toi en courant sans rien chercher d’aure. »

Phrase bien inquiétant et intrigante, dite sur un ton dur et mêlé d’une mélodie empreinte d’une profonde tristesse. Puis le jeune homme s’était éloigner dans une ruelle. Ne sachant pas vraiment s’il préférait qu’elle reste loin de lui ou qu’elle le rattrape sur le champs. A vrai dire, il aurait voulu avoir de nouveau quelques proches. Même s’il ne se dévoilait jamais totalement. Malgré sa nature solitaire, tout le monde avait besoin d’un minimum d’entourage. Surtout quand tout ce sur quoi on pouvait se baser pour vivre avait foutue le camps. Alors, oui, malgré la peur de lui faire du mal, tendis que ses pas résonnaient dans la petite ruelle, il aurait aimer qu’elle le rattrape.

« Je n’arrive pas a me motiver pour marcher dans ce monde de fous. Alors autant trouver des raisons de courir. »

C'était exprimé d'une manière si franche que ça aurait pu faire peur à beaucoup de personnes,les personnes heureuse,bien dans leurs peau qui ne comprennent pas que certaines personnes peuvent atteindre le fond et continuer à creuser toujours plus bas....Il s'téait retourné après avoir dit ça...Comme s'il était honteux de ce qu'il venait de dire,comme si c'était la première fois qu'il le disait,c'était sans doute le cas...Dévoiler ses sentiments était l'une des choses les plus dur au monde ...peut être même plus compliquée que d'arrêter la drogue,car cette souffrance psycholgique d'être déçu,trahi pouvait faire souffrir bien plus qu'un manque d'exta,d'héro ou d'autres substances qui vous font planer !

Les premières lueur du monde extérieur éblouir la jeune anglaise qui plissa les yeux .Arrivé dehors,elle se tourna vers Shuro,il lui dit quelque chose,c'était un avertissement contre quelques choses contre quelqu'un ...Puis il partit...Sans se retourner,sans adresser un dernier regard à Lyla,il partit.Devait elle le rattraper ? Avait elle envie de le rattraper ? C'était plutot ça la question.Envie oui elle en avait envie,pourquoi elle ne le savait pas mais ce qu'elle savait c'est que Shuro était une personne comme on n'en rencontre qu'une fois dans une vie si misérable qu'était celle de Lyla.

Courir et le rattraper ou partir dans al direction opposé et rentrer chez elle,c'était peut être une décision qui allait changer la vie de Lyla,pendant qu'elle le regardait s'éloigner,elle voyait les scènes du métro défiler dans sa tête qui à chaque bruit la faisait atrocement souffrir à cause du manque de drogue...

Des bruits de pas pressé résonnait dans la ruelle,Lyla se dépachait de marcher pour retrouver Shuro,ça y est il était la à quelques mètre devant elle.Sans explication Lyla avait voulu le rattraper pourquoi elle ne le savait pas mais ce qu'elle savait c'est qu'elle en avait eu envie .

"Alors on part comme ça sans me dire au revoir ? ^^"

Lyla avait dit sur un ton qui était mêlé d'ironie et qui pourtant était perplexe.Elle sourit à Shuro.

Cette chose en lui, débordant de haine le tuait a petits feux. Se propageant peu a peu, s’incrustant de plus en plus en son être pour finir par le bouffer tout entier. Ne saurait-il jamais s’en dépêtrer. Non, il y avait bien pire que de dire ce genre de phrases, ou arrêter la drogues. Plus que tout, luter contre soit même restait en tête de listes. Il ne savait juste plus qui il était. Cette ordure qui faisait hurler ses victimes du soir au petit jour; le gamin déconneur qui ne faisait que de la merde ou le jeune homme bouffé par lui même qui se détruisait jours après jours, secondes après secondes a chaque fois qu’il croisait son reflet dans une glace ou une vitre. Bien trop de choses s’entrechoquaient en lui. Bien trop pour qu’il puisse le supporter. Il ne vivait plus, survivait; puis soudain souriait, cherchant celui des autres en dévouant sa vie a ceux qui en ont besoins pour ne pas se regarder en face. Car sans qu’il ne comprenne pourquoi, c’était autre chose qui prenait possession de lui; ne vivait qu’à travers la souffrance des autres, écoutant leurs hurlement, chacune de leurs douleurs avec un sourire de délectation. Merde, mais il était quoi dans ce putain de monde a part un déchet don t on devait se débarrasser pour le bien de tous? Pourquoi il n’était jamais aller jusqu’au bout? Avait il tant que ça envie de continuer et de ce donner des raisons de tenir le coup alors que tout lui soufflait qu’il méritait de crever, qu’il était déjà mort, alors pourquoi s’obstiner? Parce qu’il était comme ça, voilà tout. Qu’il avait vu trop de souffrances du a des morts tout autour de lui et qu’il ne voulait pas en être la cause. C’était d’ailleurs ce pourquoi il était partit du seul endroit qu’on aurait pu nommer comme un « chez lui ». Car quelques personnes autour de lui commençaient a s’attacher à lui. Chose qu’il n’arrivait en vérité pas a comprendre.

Trop de choses en tête. Presque rien de dévoiler au grand jour. Non, non il n’avait pas honte. Ce qu’il avait dit, il l’avait déjà dit auparavant. Tourner autrement cela dit. Pourtant c’était une phrase lourde de sous entendues tirés de son passer comme de son futur. Lyla n’en comprenait pas plus du tiers; quoi qu’elle est vécus, ça ne serait jamais assez pour comprendre a quel point il était perdu. Il le savait bien. Pourtant la jeune femme, s’il était tellement rester avec elle, c’était bien qu’il y avait une raison. Surtout avec lui. Pas qu’elle était jolie ou autre. Juste intéressante par sa façon d’être et de vivre. Intéressante par son esprit, tout bêtement. C’était aussi pour ça qu’il était partit. Pour rencontrer ce genre de personnes. Ça n’était que ceux qui comprenait ce genre de phrases qui l’intéressait. Car c’était qu’ils avaient vécus de durs moments, des épreuves loin d’être agréables, ou même supportables. Mais qu’ils étaient encore là.

Les deux jeunes gens avaient fait irruption dans la clarté du jour et en furent éblouis. Puis, sans signes annonciateurs, le jeune homme était partis. Peu être effrayé de ne pas être seul. Pas pour lui bien sur. Pour elle. La dure réalité lui était revenue en pleine gueule, bien plus violente qu’un coup, il avait préférer s’éloigner, montrant qu’il était même plus complexe qu’on ne pouvait le croire. Tourmenté, il s’éloigna sans un mot ni un regard, ne sachant pas ce qu’il voulait espérer. Rester seul jusqu’à en crever ou tenter de vivre et de tenter de changer les choses au mépris des risques que cela incombait pour son entourage. Quelque part, de cette façon, il renonçais a ce choix. A la manière d’un jeu, elle le rattrapait, il tentait de vivre sans cette solitude trop pesante. Elle partait. Il crèverait sans témoins.

Elle le rejoint.

D’un regard surpris, il la fixa un instant, ne lui répondant pas. Et puis, contre toute attente, il lui tira la langue avec une moue digne d’un enfant faussement vexé. Puis il fit une moue que certaines auraient juger franchement craquante, mais ça, il n’y avait vraiment pas fait gaffe. Puis la jeune femme souris et il lui rendis ce sourire étrangement important. Pas un mot, toujours pas. A vrai dire, il ne savait pas trop quoi dire. Si elle l’avait rejoint, ça n’était pas pour il ne savait quel pitié, mai s par envie. Lubie étrange. Il savait que c’était ça, comme si ça avait été inscrit dans les yeux de la jeune femme. Mais ça n’y était peu être pas. Il délirait voilà tout.

Le jeune homme fit quelques pas, sentant ses poumons se vider d’air soudainement. Transition imperceptible, il serra les points et bientôt ses bras se mirent a trembler. Doucement pour l’instant, mais bientôt ça deviendrait insupportable, il la savait. Le manque emplissait doucement sa tête d’envies de dope. Ça empirerait jusqu’à ce qu’il ne le supporte plus.

Un homme passa de l’autre côté de la rue, l’asiatique le distingua du coin de l’œil et écarquilla les siens. Pressant le pas, il fit signe a Lyla de la suivre d’un signe de tête. Si elle voulait. Ça, c’était sa vie, ses choix, pas les siens.

«Mon boss »

Explication sommaire qu’il avait souffler après un regard en arrière. Ils avaient disparus au croisement de la rue, protégés par l’ombre d’un immeuble. Le bras droit du jeune homme tremblait un peu plus. Il se voyait mal sortir de la drogue en plaine rue surtout qu’elle était fréquentée celle là. Et puis, il ne savait comment elle réagirait s’il l’entraînait dans des coins craignos. Car c’était là qu’il passait son temps, et pour de prendre une dose, c’était le mieux. Ok, il savait qu’elle était une droguée puisqu’il l’avait fournis lui même. Et puis, c’était pour cette raison qu’elle l’avait suivis a l’origine; il n ’empêchait qu’il était mal a l’aise. C’était pas son genre de traîner quelqu’un dans ce genre d’endroits, surtout une femme. Mais il allait pu tenir bien longtemps avant d’être en manque au point de ne plus faire attention a ce qu’il faisait. Et il ne voulait pas perdre la tête, surtout pas la blesser en fait. Mais après tout, peu être était elle aussi en manque? ~raaaaaaaaaaaah prise de tête T.T~ oui prise de tête, ça c’était évidant. Et puis, ne sachant que faire, il repris la marche, attendant qu’elle le suive; sentant peu à peu son bras trembler d’avantage.

Ils se souriaient...Qu'elle sensation étrange de voir que quelqu'un qui ne vous méprise pas..Sa main tremblait,il était en manque,Lyla le voyait rien qu'en le regardant...le manque elle connaissait ça,elle aussi d'ailleur était en manque.Physiquement ça ne se voyait peut être pas mais au plus profond d'elle même son corps et son esprit criaient au secours comme si ils ne voulaient qu'une chose en finir pour de bon.Il tourna sa tête et partit,son boss était la,quelle merde....Lyla le suivit,son bras tremblant de plus en plus,il la conduisait dans des ruelles où elle n'avait jamais été ou en tout cas ne se souvenait pas avoir été...Sans doute voulait il prendre sa dose...Lyla l'en empêcherait elle ? Bien sur que non,elle même en manque,elle en profitera pour prendre son exta.

"La il y a personne...."

Lyla l'attrapa par son bras tremblant et l'emmena dans une ruelle déserte et très sombre.Même sil ne lui avait pas dit qu'il était en manque,elle le voyait,elle le devinait.
Adossé contre le mur,Il coimmença à pleuvoir,au loin on pouvait voir quelques personnes remonter de l'entrée du métro se ruant vers le café en fasse et attendant que la pluie se calme.Lyla sous la pluie attendait que Shuro prenne sa dose...

Il haïssait ça, être en manque alors qu’il y avait du monde autour de lui. Mais voilà, il ne pouvait pas toujours choisir. Et, justement, ces choses là, il ne les choisissait jamais. Sinon, ça n’aurait pas été drôle, il n’aurait même pas été en manque lors d’un entretient d’embauche, pas droooole. Quoi qu’au moins, il aurait peu être été pris, ils avaient crus qu’il devait avoir des problèmes se santé pour trembler de cette manière. Un peu cons, mais bon, ils n’étaient que des businessman. Ils ne venaient pas du même milieu que lui. Les choses étaient différentes pour eux. Ils vivaient dans de gran,des maisons, n’avaient aucuns problèmes d’argent et vivaient dans un monde totalement artificiel basé sur tout ce que haïssait Shuro. Y compris eux même. Mais ils n’étaient que peu a être heureux. L’humain ne sais se satisfaire. C’était pour ça que tous s’enfermait dans ce qui n’avaient pas réellement d’importance, faisant pourtant passer le travail avant tout. Leurs regards avaient sembler rechercher en Shuro quel bénéfices ils pouvaient faire de son engagement. N’en trouvant aucuns, il n’avait pas été pris. Bien normal. Et puis, ça l’arrangeait, être diriger par ces types ne l’enchantait pas. Son patron était certes bien plus cool, mais il n’aurait pas apprécier de le voir traîner avec une jeune femme alors qu’il devrait être en train de travailler pour lui. Il l’avait donc éviter au mieux qu’il pouvait et Lyla ne l’en avait pas empêcher, loin de là. Finalement, elle l’avait même entraîner dans une ruelle ou personne ne les surprendrait. Le bras du nippon était alors sembler devenir fous, et tout son corps c’était mis a trembler. Son esprit était bien plus fort que le corps, mais il ne voulait pas arrêter ses merdes. Elles le maintenait en vie. Il riva son regard durant quelques instants dans celui de la jeune femme puis se laissa tomber au sol, fouillant fébrilement dans sa poche pour trouver quelque chose. Tous ses membres semblaient réclamer cette merde qui le tuait en le faisant vivre. Contraste stupide et étrange. Pourtant d’un réalisme d’une tristesse folle. Quelques secondes plus tard, il s’était piquer, ayant fait un garrot avec sa ceinture. Fermant les yeux, il laissa la drogue prendre possession de lui et les tremblements s’estompèrent doucement.

« T’avait pris quoi la dernière fois? »

Il avait parler d’une voix faible, comme s’il était mourant. La dose était loin d’être trop forte pour le faire réellement planer. Mais juste pour le calmer. Pourtant, elle aurait causer des overdoses chez pas mal de monde. Oui, il était accros, totalement, et depuis bien plus longtemps qu’un jeune ne l’aurait du. Sa tête lui tournait, après la course, il ne devait plus avoir beaucoup de force. Il avait perdu trop de sang ces derniers temps et ne mangeait presque plus, pareille niveau sommeil. Il le savait il finirait par chuter.

Paupières toujours closes, il rangea ce qu’il avait sortit, attendant la réponse de la jeune femme. Il n’avait pas parler comme un dealer, ça n’était pas une voix d’homme d’affaire. Il ne comptait pas lui demander d’argent.

Le manque...Horrible sensation que Lyla éprouvait bien malgré elle.Se sentir encore plus couper du monde,comme si un énorme mur de verre vous entourait,que vous voyez kes gens marcher,vivre leur vie autour de vous et que vous vous criez de plein poumon espérant que quelqu'un puisse venir vous sauver...Mais personne ne vous entend,ne vous résonne et tout s'éffondre autour de vous.En voyant Shuro,adossé contre le mur et tremblant de tout ces membres,Lyla se demanda à quel moment la vie foire ? A quel moment il aurait suffi de dire non à de drogue pour être dans le même moule que tout le monde ? Putain elle en savait rien,elle ne se souvenait que de très rare moment de sa vie d'avant la drogue.C'était avant que sa mère meurt bien avant...Avant la mort prématuré de sa mère,Lyla ne se droguait que pour se marrer,comme ça un peu entre potes,après le drame,la drogue était comme une issue de secours qui l'empêchait de commettre une grave erreurs.Pourtant,ouais,des erreurs elle en avait fait,mais tomber dans la drogue était sans doute la plus belle,même si elle ne vivait plus que pour ça...Shuro se piqua et l'effet de la drogue se propageant dans son sang le soulagea.Le pluie ruisselait sur le visage de la jeune femme.

"De l'exta,de l'héro..."

Lyla s'assit à côté de Shuro,regardant les silhouette floue à travers les trombes d'eaux qu'il tombait des passant qui était à une dizaines de mètre d'eux voir plus.Lyla regarda Shuro,et pour lui à partir de quand ça avait dérapé sa vie ?Ce n'était pas le moment de poser ce genre de question..pas encore peut être...

"On devrait peut être aller ailleurs...enfin comme tu veux ?"

Dit la jeune anglaise en voyant une silhouette s'avancer dans la ruelle où ils se trouvaient

[on fait un autre topic pour continuer ? Enfin si tu veux continuer parce que ici ça n'a plus grand chose à voir avec le metro ^^]

[t'as raison, mais choisis où, j'ai pas d'idées xD]

C’était bien simple, cette impression de voir le monde se mouvoir et de ne pas y participer était son impression habituel. Depuis tout gamin, on l’avait couper, brutalement de tout ce qu’il connaissait, lui retirant les piliers qui lui permettaient distinguer les choses des autres. Il avait compris bien tôt que sa vie ne serait pas la même que celle de autres. Car il aurait du être plus fort dès l’origine, il n’aurait pas du s’attacher tant. Mais ça, il n,e le savait pas. Alors, tout comme Lyla, les choses avaient dégénérer sans qu’il ne le voit venir. Il n’avait presque plus de souvenirs d’avant. Mais ceux qu’il avait l’emplissait d’une immense tristesse quand il les évoquait. Ce devait être pour cette raison qu’il ne parlait jamais de lui. Les choses étaient bien trop compliqués. Il n’aurait jamais dis non un jour, ça l’avait sauver il le savait et n’avait aucune envie d’arrêt. Ça le tuait mais le calmait aussi. L’empêchait de faire des belles conneries bien qu’il en ai fait lui même un peu trop. Mais il n’avait pas attenter a sa vie, il se foutait en l’air chaque jours qui passaient, certes, mais il était toujours en vie. Même s’il n’était pas comme on lavait voulu, même s’il s’était fait dégager depuis tout jeune même si même si même si… lui, savait parfaitement ou tout c’était mis a déconner. Il savait bien quand tout avait déraper et là encore, c’était la mort d’un proche qui avait tout précipiter. Celle de son frère a qui il ressemblait a présent. Sauf qu’il était tomber bien plus loin que lui dans ces merdes. Il n’était qu’un enfant a cette époque. Mais un enfant doit grandir vite quand il se retrouve confronter a la souffrance, a lui même, et aux autres. Vivre, même quand ça paraissait impossible. Il se haïssait quand il était comme ça, chaque membres tremblant de manque. Il n’en pouvait plus à cet in,stant. Voulant hurler, pleurer, faire quelque chose pourvus qu’il y ai une réaction de quelqu’un. Mais jamais personne n’avait réagis et il était tomber plus bas que terre. Au plus bas, il s’était mis a creuser, comme pour tenter de se détruire le plus possible. Peut être était-ce ça qu’il faisait jours après jours en fait. Et puis la drogue s’était répandu en lui, calmant le flux de ses pensées et les battements de son cœurs s’était calmer, son rythme cardiaque de même, et les tremblements s’estompèrent pour disparaître comme s’il n’y avait rien eu. La jeune femme lui répondis finalement. Des drogues bien dures pour quiconque. Quoi qu’il pouvait bien penser ça, mais vu les doses qu’il était obliger de se prendre, il n’avait rien a y redire. Il ne répondis pas mais ouvrit les yeux quand Lyla pris de nouveau la parole. Une silhouette venait vers eux. Il dénoua son bras et remis sa ceinture. L’homme qui avait fini par pouvoir les voir le regarda étrangement. Il croyait manifestement qu’ils avaient fait des trucs louches en pleine rue. Mais ne devait pas penser a la dope. Le nippon boucla sa ceinture et le fixa, un sourire plein d’ironie.

« Promis m’sieur, on a pas fait d’cochonstés! »

Le jeune homme s’éloigna alors avec Lyla, n’ayant, à vrai dire, aucune idée d’où aller. De toute façon, rester ici ne serait pas très malin puisque s’ils croisaient les policiers qu’ils avaient… bon ok, qu’il avait provoquer, ça ne serait pas forcement très bon pour eux. Surtout que le corps du jeune homme commençait a flancher.

« Une idée de destination? Nan parce que moi c’est plutôt les coins craignos que je connais. Et c’est pas forcément une bonne idée que celle de t’y emmener. »

À l’abris des regard, sans même lui porter une seule attention visuelle, il glissa dans sa main quelques dose d’exta et d’héro. Il avait eut les deux sur lui. En lui donnant cela, il avait terminer son stock d’héro, mais il avait assez de fournisseur s’il en avait brutalement envie. Il la regarda enfin, lui faisant comprendre d’un coup d’œil qu’elle ne pouvait pas refuser, même s’il ne lui en exposerait pas les raisons. Cette dope était a elle, il ne la reprendrait sous aucuns prétexte.

https://number8.1fr1.net/lyla-winston-f89/en-retrait-shuro-t668.htm#30939

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